Bovins de boucherie Demande peu soutenue
À une semaine du début des vacances d’hiver, la demande des industriels est moins importante. L’activité commerciale est tendue pour les animaux haut de gamme et de qualité bouchère.
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Une partie de la clientèle de la boucherie traditionnelle sera sur les pistes une semaine en février. Les commandes se tassent à Rungis et les bouchers parisiens réduisent leurs achats.
L’activité du début de la semaine est assez calme, avec une demande peu soutenue sur le marché de Cholet, où seule la modestie de l’offre permet un maintien des prix.
Les bonnes génisses et jeunes vaches blondes d’Aquitaine U vont de 4,20 à 4,35 € dans les légères de moins de 450 kg. Les plus de 500 kg sont négociées de 4,40 à 5,00 €. Les blondes R en manque de finition sont dévalorisées. L’offre de charolaises est limitée, mais les acheteurs n’ont pas de besoins (offre suffisante en direct). Les R= de plus de 400 kg se négocient autour de 3,65 €, avec une fourchette comprise entre 3,60 et 3,75 €.
Dans les réformes laitières, l’offre est en accord avec la demande. Les tarifs se stabilisent avec des prim’holsteins P+/O– qui se situent entre 2,60 et 2,70 € et des P= entre 2,40 et 2,55 €, en fonction du poids et de la finition. Les normandes et les montbéliardes se vendent normalement entre 2,90 et 3,10 €. Les R– montent à 3,20 €. Les vaches maigres restent faiblement valorisées, entre 2,30 et 2,50 €.
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